Ayant été formé pour prodiguer les meilleurs conseils et viser le profit de son client, un avocat en droit bancaire est le meilleur allié de son partenaire. Que la situation soit ordinaire ou exceptionnelle, ce professionnel doit être constamment présent pour la société cliente.
Se porter comme un conseiller de confiance pour aider l’entreprise à économiser
Pour qu’une société puisse développer son activité sans pour autant enregistrer une perte en ne sachant pas négocier auprès d’une banque, elle doit avoir recours à un avocat. Ce professionnel est le pilier d’une entreprise lorsqu’il s’agit d’assurer une opération quelconque.
Voici les situations auxquelles la prise en charge d’un avocat est un must :
- Activation du compte en banque de la société cliente et officialisation de l’activité. Cette tâche demande une certaine compétence.
- Négociation lors d’un changement d’établissement bancaire et fermeture de l’ancien compte.
- En cas d’autorisation de découvert, l’avocat discute des taux d’intérêt qui, s’avèrent généralement très élevés.
- Constitution du dossier complet en vue d’une acquisition d’un prêt.
Peu importe le changement de la situation et la liaison entre la banque et le client, l’avocat doit veiller à demander une amélioration sur les conditions, et ce, peu importe le produit. Le taux d’intérêt est différent de la croissance de l’entreprise. Une start-up et une société en forte croissance ne doivent pas avoir le même taux en application.
Tenir le rôle de défenseur contre les anomalies
Certaines situations peuvent amener à la mise en épreuve des compétences de l’avocat en termes de défense de son client. Dans ce cas, on assiste à une situation contentieuse où l’avocat en droit bancaire expert doit réunir tout son savoir-faire pour défendre son client. En présence de l’une de ces circonstances, un recours contentieux est indispensable :
- Anomalie sur l’information client,
- Retrait d’argent excessif ou objection sur les frais,
- Conditions imposées qui s’avèrent non avantageuses pour la société. Dans le cas extrême, cela peut amener au surendettement de l’entreprise cliente.
- À l’inverse, des conditions anormales pour le refus de don de financements,
- Initiation dans la vie de la société, ce qui amène à des situations de gestion de fait de l’entreprise par l’établissement bancaire.
Qu’il s’agisse de recours contentieux ou de règlement à l’amiable, l’avocat travaille toujours dans l’intérêt de la société. Au vu de la complexité des contrats bancaires, l’avocat peut être amené à négocier avec la banque.